En voici le résumé :
Cet article questionne l’existence au sein de la société japonaise d’un équivalent du concept d’empathie. La notion d’omoiyari est appréhendée selon des échelles d’affiliation à autrui. La prise en compte d’une combinatoire de traits culturels japonais tels que les modes de catégorisation d¹autrui, la valorisation du consensus, l’évaluation des distances à garder entre les individus et la nécessité sociale de « conserver la face » constituent autant d’éléments qui nous incitent à repenser le concept d’empathie au sein de notre propre société et attestent de la nécessité toujours présente du comparatisme.
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