Voici deux extraits :
Kyoto compte dix-sept monuments en bois, qui sont inscrits sur la liste du Patrimoine mondial de l'Unesco, et des "zones tampon", au total 3 579 hectares, autour de ces édifices, censées tenir le diable - en général un promoteur - à distance.
(...)
Depuis une dizaine d'années, pourtant, se désole Jane Cobbi, anthropologue et ethnobotaniste spécialiste du Japon, Kyoto est entrée dans une phase de destruction. L'ennemi est insidieux : la pression foncière et la spéculation. "A l'emplacement d'une maison ou deux, il est possible de faire pousser des ensembles de plusieurs étages. A cet égard, la nouvelle gare de Kyoto a été un signal désastreux."
Le reste est ici.
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